Solitude, seule amie, seule attitude.
Printemps tardif où seuls
S'ébrouent et pépient
Des nouveau-nés sans nom
Dans le vert humide de la bruine.
Silence accru, creusé d'imperfection
Silence qui m'enserre
Dans ses longs bras méditatifs,
Silence où résonne plus encore
La solitude, ma solitude,
Et le douloureux bienêtre qui m'habite.