Le festival vit ses derniers instants. Hier soir, j'ai pu voir "Les Souffrances de Job" à la Scierie. La compagnie Dereidenz, basée à Avignon, présente ici un travail d'une grande qualité et fait preuve d'une maîtrise qui étonne eu égard à sa jeunesse. L'esthétique rappelle celles de Kantor et de Brecht. Le jeu ne tombe jamais dans le pathos, malgré le sujet, et l'emploi de marionnettes à taille humaine permet de démultiplier le nombre des acteurs.
Une toute petite gène : il est difficile de comprendre les paroles des chansons, parce que la musique les couvre.
A part ça, BRAVO !