8 NOVEMBRE au théâtre de l'Entrepôt.
Encore une fois, on n'a pas envie de critiquer une pièce qui témoigne de la douleur d'une personne. C'est ce que j'ai appelé déjà une prise d'otage. Mais en discutant avec les gens plus jeunes que moi et qui n'ont pas connu Sékou Touré, De Gaulle, la guerre froide (etc) je me suis rapidement rendu compte que personne ne comprenait rien, si ce n'est que les gens avaient souffert. C'est un peu court.
Le comédien est statique et sa voix est souvent couverte par la musique live. Le musicien-bruiteur est inventif ainsi que le danseur hip-hop dont la présence ne s'explique guère... Pour faire un vrai bon spectacle, la bonne volonté ne suffit pas.