Bon, alors, ça serait une sorte de retour au théâtre d'improvisation, mais sans improviser. Un dispositif théâtre / cinéma, mais sans réelle maîtrise des outils, un théâtre militant, mais qui a besoin d'un détour sans intérêt pour s'exprimer. Franchement, on s'ennuie beaucoup et tout ce fatras est d'une grande pauvreté qui, en plus, vous prend en otage avec un discours frontal contre Bolsonaro et son fascisme - lequel discours on ne peut contredire, sauf à faire remarquer que les Brésiliens ont élu ce fieffé imbécile corrompu !