Aujourd'hui, premier janvier 2019, on ne peut faire autrement que souhaiter à tous une bonne année. Mais en écrivant cela, je me dis tout de même que comme tous les rituels, celui-ci n'est qu'une forme un peu vide. En effet, s'il y a sur cette terre, beaucoup de gens que j'aime et que je voudrais voir heureux, il y en a aussi qui trouvent leur bonheur dans des actes que je réprouve fortement. Leur souhaiter à eux aussi une bonne année, c'est vouloir le malheur des premier. Terrible dilemme qui devrait nous empêcher de dormir !