Un jour viendra où le torride aura écopé toute la terre.
Les mers, les océans ne seront plus que béances craquelées,
Les hommes inconséquents les auront vidés et
Les naufragés du désespoir seront visibles au fond des solitudes.
Un monde sidéral,
Sidéré de vide, figé, immobile, silencieux
Poursuivra sa course dans l'espace
Où il est vain de crier.