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Des écrits poétiques et littéraires agrémentés de photos ou de tableaux et aquarelles... le monde sensible transfiguré par les mots et les couleurs.

ET LES MISTRALS GAGNANTS ...

Publié le 8 Mars 2017 par Nicole Fack in Actualité, Cinéma

La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !
La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !

La leçon de courage ne vient pas forcément des forts en gueule !

Je voudrais partager avec vous l'émotion positive et sans pathos que j'ai ressentie hier en voyant le film "Et les Mistrals Gagnants", documentaire sans commentaire qui suit  au plus près le quotidien joyeux et tragique d'un petit groupe d'enfants gravement malades. 

Notons d'abord que ce documentaire n'a pu être réalisé que grâce à un appel aux fonds (Kiskis bang bang) Sans doute les voies normales ont-elles refusé de le financer, par peur d'effrayer les spectateurs potentiels? 

Anne-Dauphine Julliand se tient modestement auprès de ces petits malades, qui, quelle que soit la gravité de leur problème, font preuve d'une belle énergie et vivent à fond leur petite vie fragile. Nulle parole d'adulte, ni les soignants, ni les parents n'expliquent la situation: c'est que ces petits ont pris en charge leur maladie, savent en parler par petites touches, et jusqu'aux soins palliatifs, seule solution, parfois. "la chimio, ça me rendait malade, je vomissais beaucoup..." ou bien "la morphine, ça calme, mais ça fatigue, je me sens soit drôle"... et ce coeur défaillant secondé par un instrument placé dans un joli sac à dos rose et bleu pastels et qui n'empêche pas de rire et de jouer sur la scène du théâtre, en sachant qu'une greffe est impossible ...

Quand on parle de soins palliatifs pour une personne de 80 ans, on admet facilement. Quand il s'agit d'une enfant de huit ou neuf ans, pleine d'énergie et d'imagination, on tremble.

Mais ce film ne cherche pas la pitié. Ces enfants-là vous donnent courage et espoir. Si seulement nous étions aussi forts qu'eux, parfois !

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