Pauvre soleil aux laborieux rayons,
Cherche son chemin, aveuglé, égaré.
La terre est froide.
Il est ainsi des jours où la lumière pressentie,
Ne parvient pas à éclairer ton coeur.
Marchant le long du fleuve, errant en ville,
Ou grimpant au Rocher,
L'avenir effacé par la brume
T'échappe.
Vienne le souffle au ciel,
Revienne le bleu,
Pétille la lumière,
Et renaisse en ton coeur le courage d'avancer !