Jeux et ris de l'été au soleil parcimonieux.
Ni mer, ni piscine, ni voyage:
La Meuse au bout du chemin,
Des joncs comme bouée,
Une barque comme plongeoir,
Et l'herbe du pré pour la gymnastique.
Les corps exultent,
L'énergie se libère,
Les peaux rosissent et la mère tartine,
Tandis que le soleil décline et disparaît derrière la colline.
Ni tour opérateur,
Ni animateurs,
Ni billets à prendre.
Les loisirs s'improvisent,
Comme la vie.
Son enfance démunie: un souvenir radieux.
Et tant pis pour Zola !