Des écrits poétiques et littéraires agrémentés de photos ou de tableaux et aquarelles... le monde sensible transfiguré par les mots et les couleurs.
Comme disait Rimbaud, s'adressant aux CORBEAUX : Par milliers, sur les champs de France, Où dorment des morts d'avant-hier, Tournoyez, n'est-ce pas l'hiver, Pour que chaque passant repense ? Sois donc le crieur du devoir, Ô notre funèbre oiseau noir...
Tu sortis sur le seuil, abandonnant à l'intérieur Ton immense chagrin. L'orage avait cessé, laissant partout Des traces de fureur. Le soleil déclinant cherchait à se parer Rassemblant ses couleurs Et la lumière humide qui caressait ton coeur Apaisa ton...
Alors, là, j'ai carrément ÉCLATÉ DE RIRE ! Voici ce que j'ai entendu au cours d'un bulletin d'informations sur France Culture : DANS CE PAYS, LES INSTITUTIONS ONT ÉTÉ DISSOLUES PAR LE COUP D'ETAT. Je pense qu'il n'est pas utile de préciser que cette personne...
Telle une vigie surveillant l'océan Tu scrutes les lointains Tu voudrais y trouver des raisons d'espérer Mais les lointains désespèrent Hantés pas l'exil Habités de sans toit Que la loi répudie. Tu scutes les lointains Et ton regard se brouille.
Je voudrais que meure la guerre Que chante l'Amour Et que soit de retour Le désir universel.
Bonne fête, maman ! En 1991, ils s'étaient alliés pour réaliser une carte originale ...
La recette de l'amour parfait, selon Serge Gainsbourg... Chanté par Marie-Noëlle On poursuit dans l'humour !
Les vieux, c'est comme les déchets nucléaires, il faut les retraiter, sinon, ils deviennent dangereux !
Dernier tableau en date : acrylique sur toile 60X80 Glacé, gelé, désolé, Inéluctable, L'avenir soupire Ses humains abandonnés.
Ce que tu étais, tu le seras. La nuit n'est jamais complète ; Il reste aux alentours, un vieux désir qui veille Et embrase en silence ton pauvre coeur meurtri. Tu t'avances à tâtons et tu ne sais vers quoi, Tendu vers une lumière qui toujours se dérobe....
Sable du temps... Au coeur du tumulte Un instant dilaté Projeté au passé Poursuivi au présent Jeunesse retrouvée L'océan sourit à mon coeur apaisé.
On n'y danse pas forcément... C'est un drôle de pont, Un pont qui ne mène nulle part, Une sorte de brouillon de pont, Parcouru par des piétons alanguis et rêveurs. Un pont de légende et de Saint Bénezet, Un pont pour rien, si ce n'est la beauté, Un pont...
L'infini dans les yeux Tes pas sur la rive s'abreuvent au bleu L'océan miroite à contre-jour Au cri des houles et des mouettes Revenir en ces lieux-océan Chercher l'horizon qui fuit Et rêver sur le lande Petit humaine Conquérante conquise.
Les nuées galopent Le ciel giboule en tous sens Cache-cache de lumière mouillée. Tu contemples ce chari-vari Et ton coeur l'accompagne Ombre et soleil. Filent les lambeaux humides Dérive ton âme La paix reviendra...
Fuyant les villes détruites, Escaladant les montagnes arides Et les déserts glacés, Tendus vers une lumière qui toujours se dérobe, Ils ont marché, ils ont tant marché !
La terre, un jour, redeviendra immensité, que l'Homme le veuille ou le subisse. La terre, un jour, ouvrira de nouveau les horizons. De l'obscurité accumulée renaîtra la lumière, Lentement, secrètement. Pour qui ? La terre, pensez-y, n'a pas d'héritie...
Tom George British jusqu'au ridicule, ce film qui se voudrait parodique, tombe lourdement dans le lieu commun à cause de son prétendu humour anglais qui appuie tellement ses regards et ses effets qu'il déclenche le rire, non de connivence, mais de moquerie....
Ce 25 octobre, l'heure est un leurre Un leurre d'automne Alors que l'heure d'hiver, entrant en vigueur, Annonce les rigueurs du temps. Au coin du feu, ils passeront des heures S'ils ont un feu où se couvrir Un pauvre feu qui soit le leur...
Le sens de la formule ! Le projet économique de M. Macron, c'est celui de Mme Le Pen avec leMÉPRIS DE CLASSE en plus. Le projet économique de Mme Le Pen, c'est celui de M. Macron, avec le MÉPRIS DE RACE en plus.
Jadis, c'était avant Naguère, comme hier, c'est derrière Dorénavant, c'est maintenant Demain, c'est trop loin Bientôt, c'est trop tôt Aujourd'hui, c'est fini.
Mes amis, la peine est de ce monde; La peine est de ce monde, je le sais bien. Comment deviner, sur la fragile branche, Le nom des saisons à venir? La peine est de ce monde, ô mes amis que j'aime, Mais chaque fleur d'orage porte la graine de demain.
FAIRE REVIVRE NOTRE CHÈRE AMÉLIE À TRAVERS LES VOIX DE DEUX FIDÈLES... Je sens que ça va être une soirée nostalgique !
Pour commencer l'année, ce sera Verlaine... Dans une rue, au coeur d'une ville de rêve Ce sera comme quand on a déjà vécu Un instant à la fois très vague et très aigu... Ô ce soleil parmi la brume qui se lève !
Bonne année Dit Anne, la bonne née il y a des années Ployant sous le poids de l'ânée. La bonne à la bouche édentée Renonce au chocolat de bonne année Et retourne sous le bât Pour encore une année.