Aude Léa Rapin avait une bonne idée, bien dans l'air du temps newage (notez ma compétence en anglich) : interroger la peur de la mort et sa consolation par la croyance en la métempsycose. Pourquoi pas ? les temps sont violents et angoissants; le passé récent nous a comblés en génocides au Rwanda et en guerres fratricides, en Bosnie...
Mais voilà. Traiter ce genre de sujet n'est pas simple et le recours au film dans le film ne suffit pas à relever le défit. On a l'impression qu'une fois posés les prémices et l'environnement, la réalisatrice ne sait qu'en faire... Quel dommage !